Juliette B.
(3’14)
- 1) Peut-on parler d’autofiction pour ce roman ? (Du début à 55’’)
- 2) Pourquoi être passée par le roman (et donc la fiction) plutôt que par le témoignage (plus réel) ? (de 55’’ à 2’07)
- 3) Pourquoi décider de raconter ce moment de votre vie dans un roman ? (de 2’07 à fin)
Bérénice
(5’22)
- 4) Votre écriture paraît assez sensible. Est-ce que ça a été dur pour vous d´écrire vos sentiments ? (Du début à 1’12)
- 5) Pourquoi mettre autant d’ellipses dans votre écriture ? (de 1’12 à 3’20)
- 6) Vous avez choisi une écriture à la fois ciselée et plutôt intime, est-ce pour vous faire mieux comprendre par les lecteurs ? (de 3’20 à 4’11)
- 7) Dans votre roman, vous donnez finalement assez peu de détails sur la vie actuelle de votre personnage et sur la façon dont il a évolué par rapport à cela, pourquoi ? (de 4’11 à fin)
Juliette E.
(7 ’ 51)
- 8) Pour quelles raisons le titre de votre livre se nomme :« Parle tout bas » ? (Du début à 58’’)
- 9) La musique est importante dans votre vie. Qu’y a-t-il de musical, selon vous, dans ce roman ? (de 58’’ à 2’36)
- 10) Vous êtes-vous sentie libérée (sorte de guérison) après l’écriture du roman ? (de 2’36 à 3’49)
- 11) En écrivant ce roman, souhaitiez-vous des retours de la part de lecteurs et lectrices qui ont peut-être vécu des faits similaires ? (de 3’49 à 6’16)
- 12) Est-ce difficile de travailler dans le même domaine que votre père, qui est très connu ? Vous donne-t-il des conseils ? (de 6’16 à fin)
Emilien, Yaëlle et Taïs, Lycée Ernest Renan, St Brieuc
NB : la prise de son n’est pas optimale, le comité de rédaction présente ses excuses pour ce petit bémol technique ! Mais prêtez l’oreille, les réponses d’Elsa Fottorino n’en sont pas moins riches ! (Montage : Eléa, Lycée Renan, St Brieuc)
0’5’’ Pour parler de l’instance qui dit « Je » dans votre roman, faut-il dire que c’est vous ou que c’est une narratrice, voire un personnage, avec lesquels vous avez mis ou pris de la distance ?
1’ 24’’ Pouvez-vous nous parler de l’importance que vous accordez au « nom » : la narratrice est bouleversée quand elle apprend que le criminel en a connaissance et on conseille à la narratrice, en tant que partie civile, de ne plus chercher à protéger ce nom (p. 100 et p. 132) ?
2’ 43" Y a-t-il des écrivains dont vous vous sentez proche ? Ou d’autres qui vous inspirent ?
4’ Pouvez-vous nous parler de votre relation avec votre éditeur ? Est-ce vous qui l’avez choisi ou l’inverse ? Comment travaillez-vous ensemble ?