Célia
- J’ai bien aimé la pudeur avec laquelle le thème est abordé. Mais est-ce que cela a été difficile de choisir entre ce qui pouvait être écrit et ce qui devait rester dans l’ombre, dans le non-dit ?
- Y a-t-il des passages que vous aviez écrits et que vous avez finalement choisi de supprimer ?
- Ne pas aller jusqu’au procès de la Fondation Galathée, est-ce une façon de nous dire qu’il est moins important d’en juger ses membres que de voir comment Cléo trouve la clé du pardon ?
Élio
- Le prénom de Cléo a-t-il été choisi par hasard, ou lui attribuez-vous une signification particulière ?
- Pensez-vous que votre roman pourra aider des jeunes filles qui se sont trouvées dans la même situation que Cléo, et qu’elles pourront mieux trouver les mots justes pour s’en sortir ?