Les Rencontres nationales ont commencé

Jeudi 12 décembre 2024

Nous sommes aux Rencontres nationales du prix Goncourt des Lycéens. Plusieurs auteurs vont venir répondre à des questions posées par des lycéens. Quatorze classes de toute la France parmi les cinquante-et-une sont présentes.

Aujourd’hui le 12 décembre 2024, nous sommes aux Rencontres nationales du Prix Goncourt des lycéens 2024, qui ont lieu au Triangle, à Rennes, en présence de quatorze classes. Nous allons interviewer les auteurs et élèves présents lors de ces rencontres. L’ambiance de la salle était animée et joyeuse : tout le monde attendait avec impatience l’arrivée des auteurs.

Cette année, il y a cinquante-et-une classes de lycées généraux, technologiques et professionnels dont deux d’outre-mer et deux établissement français de l’étranger qui participent. Le Prix Goncourt des lycéens a été créé en 1988 ; c’est la 37e édition. Les élèves sont toujours aussi motivés et fiers d’y participer.

Ingrid et Joël Lesueur, les co-présidents de Bruit de lire nous ont accueillis.

Après la lecture d’extraits de « Jour de ressac » de Maylis de Kerangal et de « Cœur » de Thibault de Montaigu, les partenaires permettant la réalisation de ces Rencontres se sont présentés sur scène. Tout d’abord il y a eu le recteur puis une délégué de DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) de Bretagne, la conseillère de la région Bretagne, un représentant de la municipalité adjoint à la culture de la ville de Rennes.

Ils nous ont dit que la lecture formait des citoyens instruits et réfléchis et que le but de ce prix était de rendre la lecture accessible aux jeunes pendant le temps scolaire. Le recteur a surenchéri en nous annonçant que les classes jury ont brillamment relevé le défi et que nous étions des ambassadeurs d’une jeunesse curieuse, les passeurs d’histoire et créateurs de liens ainsi que de véritables critiques littéraires. Il y a ensuite eu l’annonce du palmarès du Prix de la Plume. Dans la catégorie générale, la lauréate est Galane Alanou pour sa critique de « Madelaine avant l’aube ». Le deuxième prix a été décerné à Gabrielle Pete pour la critique de « Houris », le troisième à Laïna Mougel pour « Les guerriers de l’hiver ».

Il y a eu une menton spéciale dans la catégorie des classes jury pour Louis Richez pour avoir réalisé un calligramme représentant le personnage principal de « La vie meilleure ». Les gagnants ex aequo dans la catégorie classe Goncourt, sont Yaël Verschueren et Cécil Schubert. Tous les trois viennent du lycée François Ier de Fontainebleau.

Par Thomas

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