Interviews des auteurs du GDL

Vendredi 19 février 2021Carole Martinez, lauréate du Prix Goncourt des lycéens 2011 - Partie 1

C’est en plein travaux de bricolage (il faut bien s’occuper, pendant ce confinement !…) que nous avons retrouvé Carole Martinez, lauréate du Prix Goncourt des lycéens 2011 pour son roman Du domaine des murmures. Avec la gentillesse qui la caractérise, elle a troqué son marteau et ses clous pour une tasse de thé, s’est assise sur son rocking-chair et a répondu aux questions du Journal du Goncourt des lycéens 2020 :

Vendredi 27 novembre 2020Carole Martinez, lauréate du Prix Goncourt des lycéens 2011 - Partie 2

Elio

3) Le fait de remporter ce prix a-t-il eu des conséquences sur votre carrière d’écrivain, ou même sur votre vie ?

4) Est-ce que vous pensez que les livres rendent la personne qui les a écrits immortelle ?

5) Qu’auriez-vous à dire au prochain lauréat du Prix Goncourt des lycéens 2020 ?

Vendredi 27 novembre 2020Carole Martinez, auteure des « Roses fauves » - Partie 1

Carole Martinez ayant déjà reçu le Prix Goncourt des lycéens en 2011 pour son roman Du domaine des murmures, son nouveau roman Les roses fauves ne pouvait pas être sur la liste du Goncourt des lycéens, mais il était bien sur la liste du Goncourt, en septembre. Nous lui avons donc également posé des questions sur son roman, que nous vous recommandons également.

Vendredi 27 novembre 2020Carole Martinez, auteure des « Roses fauves » - Partie 2

Zoé

8) Puisque vous devenez vous-même un personnage de votre propre roman, on en vient à se poser la question : existez-vous bel et bien ?…

9) Mais pourquoi avoir décidé de faire de vous un personnage de roman ?

10) Pourquoi avoir situé l’intrigue du roman en Bretagne ? Êtes-vous vraiment venue en Bretagne pour vous inspirer de certains lieux ?

Mercredi 19 mai 2021L’interview de Djaïli Amadou Amal - Partie 1

Youri :

1. Vous avez dit, lors des rencontres digitales, qu’enfant, vous lisiez beaucoup, un peu comme Ramla qui est, pour moi, la seule qui se sort vraiment de sa condition, quelles ont été vos lectures, certaines vous ont-elles aidée ?

2. Vous avez commencé à écrire il y a dix ans, mais comment avez-vous réussi à publier, vous a-t-on aidée à le faire ?

Gaston

3. Il y a beaucoup de superstitions dans ce roman (par exemple Safira qui cherche à jeter des sorts sur Ramla), avez-vous désiré montrer une partie de votre culture, ou une partie de vous-même ?

4. Avez-vous beaucoup changé votre première version lorsque vous avez publié pour le public français, notamment, avez-vous été obligée de rendre plus accessible au novice la culture Peule ?

Vendredi 27 novembre 2020L’interview de Djaïli Amadou Amal - Partie 2

Aya :

5. Qu’est-ce qui vous a poussée à dénoncer la condition de la femme dans le Sahel, et les violences faites aux femmes ?

6. Dans le nord du Cameroun, comment les femmes sont-elles considérées ? Sont-elles très maltraitées, au contraire des garçons ?

7. Vous avez connu le mariage forcé et aussi la polygamie, comment avez-vous vécu et subi ces violences ?

Vendredi 27 novembre 2020L’interview de Djaïli Amadou Amal - Partie 3

Elio :

8. Page 95, vous écrivez, parlant du viol de Hindou : “Le devoir conjugal ! On me cita un hadith du Prophète : Malheur à une femme qui met en colère son mari, et heureuse est la femme dont l’époux est content d’elle ! Je ferais mieux d’apprendre tout de suite à satisfaire mon époux. Le médecin ne s’en formalisa pas non plus. Tout s’était déroulé normalement. […] D’ailleurs, qui a osé évoquer le mot “viol” ? Le viol n’existe pas dans le mariage.” Dans cette phrase et même dans tout le roman, on a l’impression que les hommes(masculins) utilisent, comme prétexte, la religion pour justifier et même peut-être défendre le sort réservé aux femmes. Est-ce un problème que vous avez aussi cherché à soulever ?

9. Selon le collectif “NousToutes”, situé en France, qui est un collectif féministe engagé contre les violences sexistes, sexuelles, économiques etc… 61 femmes sont mortes tuées par leurs conjoint ou ex-conjoint, depuis le 1er janvier 2020. En France comme au Cameroun, les femmes se taisent de honte à cause du regard de la société, est-ce que Hindou représente cette catégorie de femmes ?

10. Si vous vouliez dire quelque chose, un mot, une phrase, une parole à adresser à toutes les filles qui subissent des mariages forcés au Cameroun, et aux femmes de France qui sont violées, torturées physiquement et mentalement… Si vous aviez quelque chose à transmettre, qu’est ce que cela serait ?

Vendredi 27 novembre 2020L’interview de Djaïli Amadou Amal - Partie 4

Aya

11. Le thème de l’argent semble être central dans le livre. Pourquoi ?

Elio

12. Les femmes ne sont pas tendres entre elles, aucune solidarité, est-ce que c’est diviser pour mieux régner ?

Vendredi 19 février 2021L’interview d’Irène Frain, PARTIE 1

Maëwenne : 1) Pourquoi avez-vous pris la décision d’exposer cette terrible tragédie familiale à nous lecteurs ? 2) Comment vous y êtes-vous prise pour rédiger cette oeuvre ? Comment avez-vous organisé ce que vous alliez écrire ? Fanya : 3) Vous avez déjà écrit beaucoup de livres. Est-ce que celui-ci a (...)

Vendredi 27 novembre 2020Interview avec Irène Frain, PARTIE 2

Fanya : 1) Avez-vous éprouvé des difficultés particulières lors de l’écriture de certains passages pour écrire certaines situations ou les sentiments qui vous animaient ? 2) Pourquoi avoir choisi d’écrire un récit plutôt qu’un roman ? Irène (...)

Vendredi 27 novembre 2020L’interview d’Irène Frain, PARTIE 3

Télia : En lien entre le fait divers et la littérature, est ce que vous pensez que votre récit soit une œuvre engagée ? Irène Frain_Un-crime-sans-importance

Vendredi 27 novembre 2020L’interview d’Irène Frain, PARTIE 4

Télia : 1) A la page 43, vous mentionnez le sérial killer avec ironie en décrivant la zone urbaine de Brétigny-sur-Orge. Est-ce que dès l’écriture de ce roman, vous avez eu l’intuition qu’il s’agissait d’un sérial killer ? Aëla : 2) 9 Vous accordez beaucoup d’importance à la ville de Brétigny-sur-Orge dans (...)

Vendredi 27 novembre 2020L’interview d’Irène Frain, PARTIE 5

Thelma : 1) Vous avez déclaré, au micro de Sud Radio : « Ce livre est aussi pour les autres victimes ». En quoi peut-il les aider ? 2) Pensez-vous qu’au bout du compte, la plume de votre écriture sera plus forte que l’épée de la Justice ? Irène (...)

Vendredi 19 février 2021L’interview d’Hervé Le Tellier - partie 1

Bérénice

1) A la télé, j’avais déjà vu une série (Manifest) qui ressemble à l’histoire du livre. Vous êtes-vous inspiré d’un film, d’une série ou d’autres choses pour composer votre roman ?

Élio

2) Comment vous est venue cette idée d’une soi-disant simulation, où nous serions programmés par des êtres supérieurs ? Est-ce que cela vous semble possible ?

3) Pourquoi avoir voulu proposer aux lecteurs différents personnages (et plusieurs genres littéraires) et pas un seul ?

Samedi 21 novembre 2020L’interview d’Hervé Le Tellier - partie 2

Amélie

4) Comment avez-vous créé le personnage de Blake ? En quoi son rôle est important dans cette histoire ?

5) Pourquoi, dans cette histoire de doubles, le roman de Victor Miesel ayant pour titre L’anomalie n’est-il pas justement le double du vôtre ?

6) Avez-vous cherché à explorer le plus de relations humaines possibles ?

Samedi 21 novembre 2020L’interview d’ Hervé Le Tellier - partie 3

Bérénice

7) Avez-vous coupé des passages ou supprimé des personnages ?

8) Pourquoi et quand avez-vous décidé de faire un final aussi énigmatique ?

9) Dans l’une de vos pages, vous mentionnez le coronavirus (p 128). Pensez-vous que cette drôle de période que nous vivons pourrait vous inspirer pour un prochain roman ?

Samedi 21 novembre 2020L’interview d’ Hervé Le Tellier - partie 4

Elio

10) Est-ce que vous vous êtes donné des contraintes particulières pour écrire, comme vous le feriez avec l’Oulipo ?

11) Qu’avez-vous pensé du texte de Typhaine que votre roman a inspiré ?

12) Qu’aimeriez-vous dire à votre double, si un jour vous le rencontrez ?

Bérénice

13) Pour finir, est-ce que vous seriez d’accord pour que le livre L’Anomalie se transforme en série dont vous seriez le scénariste ?

Vendredi 19 février 2021L’interview de Lola Lafon - 1re partie

Une interview exclusive de Lola Lafon pour le JdGdL.

Avec, pour commencer, des questions de Célia :

  • Vous avez mis 2 ans pour écrire votre roman. Comment vous y êtes-vous prise ? 1 an d’enquête puis 1 an d’écriture, ou autrement ?
  • Avez-vous établi un plan précis avant de vous lancer dans la rédaction complète ?

Puis de Chloé (qu’on ne voit pas à l’écran …) :

  • - Pourquoi avoir choisi d’écrire une histoire à plusieurs voix et ne pas seulement faire parler Cléo ?
  • Pourquoi ne pas avoir fait un chapitre en adoptant le point de vue de Cathy ?
Jeudi 19 novembre 2020L’interview de Lola Lafon - 2e partie

Célia

  • J’ai bien aimé la pudeur avec laquelle le thème est abordé. Mais est-ce que cela a été difficile de choisir entre ce qui pouvait être écrit et ce qui devait rester dans l’ombre, dans le non-dit ?
  • Y a-t-il des passages que vous aviez écrits et que vous avez finalement choisi de supprimer ?
  • Ne pas aller jusqu’au procès de la Fondation Galathée, est-ce une façon de nous dire qu’il est moins important d’en juger ses membres que de voir comment Cléo trouve la clé du pardon ?

Élio

  • Le prénom de Cléo a-t-il été choisi par hasard, ou lui attribuez-vous une signification particulière ?
  • Pensez-vous que votre roman pourra aider des jeunes filles qui se sont trouvées dans la même situation que Cléo, et qu’elles pourront mieux trouver les mots justes pour s’en sortir ?
Jeudi 19 novembre 2020L’interview de Lola Lafon - 3e partie

Elio :

  • Pouvez-vous nous parler de « L’Affaire Julie », s’il vous plaît ?
  • Avez-vous justement rencontré des lectrices qui ont vécu des situations proches de Cléo, depuis la parution de Chavirer ? Si c’est le cas, que leur avez-vous dit ?
Mardi 20 octobre 2020Interview de Miguel Bonnefoy - partie 4

Suite des questions posées par Léandre :

7) Parmi ces personnages, tous très attachants, y en a-t-il un que vous préférez ?

8) Quel héritage souhaiteriez-vous transmettre à vos lecteurs, à travers ce roman ?

Mardi 20 octobre 2020Interview de Miguel Bonnefoy - partie 3

Les deux premières questions posées par Léandre (et pas Léon. Mais avec les masques, on s’entend mal parfois ;-) ) :

5) Comment vous y êtes-vous pris pour que vos personnages dégagent à la fois autant de force et de fragilité ?

6) Pourquoi avez-vous choisi de mettre tant de violence dans la vie de chacun d’entre eux ?

Mardi 20 octobre 2020Interview de Miguel Bonnefoy - partie 2

La suite des questions posées par Maël :

3) Vous sentez-vous plus proche de la littérature sud-américaine ou de la littérature française ? Ou bien juste entre les deux ?

4) Comment vous-y prenez vous pour introduire cette part de merveilleux dans un contexte plutôt réaliste ?

Vendredi 19 février 2021Interview de Miguel Bonnefoy - partie 1

Questions de Maël pour le JdGdL :

1) Combien de temps avez-vous mis pour écrire ce roman ? Quel a été votre processus d’écriture ?

2) Quelle est la part de votre héritage familial et littéraire dans la création de ce roman ?