Que dire ?
On m’a demandé d’écrire un texte pour le journal du Goncourt mais l’inspiration ne vient pas. Mon esprit est une page blanche et il me faut écrire dessus, alors que dire ? Par où commencer ?
Les livres…
J’ai à peine effleuré Le cœur ne cède pas, alors à Grégoire Bouillier je me dois de dire pardon. Pardon car si son histoire me paraît intéressante, je n’ai pas su plonger dedans. A contrario, La vie clandestine m’a pris par la main et je l’ai suivie sans résistance. Peut-être parce-que j’ai toujours préféré l’ombre à la lumière.
Alors en terminant cet article, je n’ai certes pas acheté de buse naturalisée, mais je ne sais plus comment cela a commencé. L’inspiration repart et à mon esprit se rajoute une nouvelle page blanche qu’il me faudra compléter…