Le pour et le contre de « La Fille qu’on appelle »

une critique du roman de T. Viel
Mardi 9 novembre 2021

Lou et Lylou, élèves du Lycée P. et M. Curie de Neufchâteau (Vosges, 88) partagent leur avis sur le roman de T. Viel :

L’auteur

L’auteur Tanguy Viel a reçu plusieurs prix avant de participer au prix Goncourt comme le prix Fénéon ou encore le prix littéraire de la vocation pour son roman L’absolue perfection du crime et d’autres encore. Ce n’est donc pas son premier roman.

Tanguy_Viel en 2015

Résumé :

Laura, la fille du célèbre boxeur Max Le Corre, également chauffeur du maire de la commune, revient vivre avec son père dans sa ville natale, près de la mer. La jeune fille aimerait avoir un logement le plus vite possible, son père va donc demander au maire, Quentin Le Bars, de l’aider. Il va le faire en lui trouvant aussi un travail au casino de Franck Bellec. En échange de ce service, Le Bars va se servir de la jeune fille…

Avis personnel négatif :

Je n’ai pas trop apprécié ce livre car premièrement l’histoire ne m’a pas inspirée et ensuite je trouve que ce livre est répétitif et difficile à comprendre car il y a des changements soudains de scène.

Avis personnel positif :

J’ai apprécié ce livre parce qu’il est réaliste et parle d’un sujet qu’on évoque très rarement alors que c’est très important d’en parler quand on en est victime : le roman m’a permis de le découvrir.

Nous recommandons ce livre pour les lecteurs qui aiment les histoires à rebondissements mais nous ne le recommandons pas pour les gens qui aiment les histoires faciles à comprendre.

Citation

C’est maintenant ou jamais, a répondu Max, le temps ne joue pas avec moi. En quoi avait-il raison, que la boxe à son âge, du moins la sensation qu’il en avait, c’était comme patiner sur un lac gelé à la toute fin de l’hiver, et malgré les victoires il n’était pas dupe de la fine pellicule de glace sur laquelle il continuait d’évoluer, ne craignant pas d’y effectuer encore les figures les plus délicates, mais attendant résigné qu’un jour la glace se fendille d’un coup et qu’il se noie dans l’eau froide. (p. 20-21)