L’interview d’Irène Frain, PARTIE 4

Vendredi 27 novembre 2020

Télia :

1) A la page 43, vous mentionnez le sérial killer avec ironie en décrivant la zone urbaine de Brétigny-sur-Orge. Est-ce que dès l’écriture de ce roman, vous avez eu l’intuition qu’il s’agissait d’un sérial killer ?

Aëla :

2) 9 Vous accordez beaucoup d’importance à la ville de Brétigny-sur-Orge dans laquelle s’est déroulé le crime et à l’évolution urbaine de celle-ci. En quoi est-ce l’un des nœuds de l’affaire, selon vous ?

3) À la page 183 le psychiatre de Denise vous dit : « fuyez, ne revoyez pas Denise ni toute votre famille ». Pourquoi vous donne-t-il ce conseil à la fois si brutal et si mystérieux. Vous avez parlé tout à l’heure d’isolement terrible

Irène Frain_Un-crime-sans-importance